Dans le cadre de notre rôle d’information, nous publions ci-dessous un texte vu sur internet ce jour. Le sujet est «l’automobile».
Le titre (Bourse: la Bourse de Toronto retraitait de près de 350 points en fin de matinée) parle de lui-même.
Identifié sous la signature «d’anonymat
», l’écrivain est connu et fiable pour d’autres éditoriaux qu’il a publiés sur le web.
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(Photo: Getty Images)
REVUE DES MARCHÉS. La Bourse de Toronto chutait de près de 400 points jeudi, en fin de matinée, victime d’un déclin généralisé, pendant que les grands indices américains reculaient eux aussi, au lendemain de l’annonce, par la Réserve fédérale, d’une hausse des taux d’intérêt.
La Bourse de New York a plongé jeudi à l’ouverture après les hausses de taux des banques centrales et des indicateurs américains décevants.
Pour (re)consulter les nouvelles du marché
Les indices boursiers à midi
À Toronto, le S&P/TSX diminuait de 342,98 points (-1,72%) à 19 548,67 points.
À New York, le S&P 500 diminuait de 98,30 points (-2,46%) à 3 897,02 points.
Le Nasdaq lâchait 322,24 points (-2,88%) à 10 848,65 points.
Le DOW baissait de 807,80 points (-2,38%) à 33 158,55 points.
Le huard reculait de 0,0064 $US (-0,8692%) à 0,7323 $US.
Le pétrole lâchait 1,33 $US (-1,72%) à 75,95 $US.
L’or descendait de 30,20 $US (-1,66%) à 1 788,50 $US.
Le bitcoin descendait de 719,00 $US (-3,97%) à 17 411,08 $US.
Le contexte
Outre la Fed, qui a resserré ses taux pour la septième fois cette année, c’était au tour de la Banque centrale européenne (BCE) jeudi de relever les siens de 50 points de base, ce qui était attendu par les marchés.
Mais son message est apparu plus «belliciste», comme l’a qualifié Claus Vistesen de Pantheon Macroeconomics.
La BCE a prévenu qu’elle allait continuer à resserrer la vis monétaire et a révisé en hausse ses projections d’inflation, a souligné l’analyste. Sa présidente Christine Lagarde a aussi signalé des risques à court terme pour la croissance.
La Banque d’Angleterre, qui lutte contre une inflation qui frôle les 11%, a elle aussi relevé son taux directeur jeudi.
Sur le marché obligataire, réagissant à ces craintes de ralentissement global, les rendements sur les bons du Trésor à 10 ans reculaient à 3,45% contre 3,47% la veille.
Du côté de la Fed, le message délivré mercredi par son comité monétaire atteste «qu’il ne faut pas s’attendre à ce qu’elle change le cours de sa politique monétaire» en 2023, a résumé Art Hogan de B. Riley Wealth Management.
«En plus des hausses de taux, les responsables ont signalé un taux final plus élevé en 2023», probablement au-dessus de 5%, ce qui a refroidi les investisseurs, poursuit l’analyste.
Les taux au jour le jour qui sont désormais situés entre 4,25% et 4,50%, dictent le coût de tous les autres crédits. Les membres de la Fed «s’attendent à une économie moins robuste l’année prochaine ainsi qu’à une inflation qui mettra plus de temps à ralentir», a ajouté Art Hogan.
Comme pour faire écho à ces préoccupations, plusieurs indicateurs américains ont déçu. Les ventes au détail aux États-Unis ont reculé plus qu’anticipé au mois de novembre aux États-Unis, plombées principalement par les ventes de voitures et le secteur de la construction. Elles se sont repliées de 0,6% quand les analystes attendaient un recul de 0,1% seulement.
L’activité manufacturière de la région très industrialisée de Philadelphie est restée en contraction en décembre, pour le quatrième mois d’affilée et celle de la région de New York est retombée dans le rouge après un rebond en novembre.
Enfin la production industrielle en novembre, mesurée par la Fed, a ralenti de 0,2% sur un mois, dont -0,6% pour l’activité manufacturière seule.
«Avec la faible croissance mondiale, le dollar fort et l’élan de l’activité intérieure ralenti par les taux d’intérêt, on peut dire que cette faiblesse de la production industrielle est un signe de ce qui nous attend», a jugé Andrew Hunter, économiste pour Capital Economics.
À la cote, Tesla (TSLA) qui a beaucoup lâché de lest ces dernières séances, reprenait de la vigueur alors que son fondateur et dirigeant Elon Musk a encore cédé en début de semaine, selon un document soumis aux autorités boursières, pour 3,6 milliards de dollars US d’actions supplémentaires du constructeur de voitures électriques.
Les grands noms du secteur de la technologie, très sensible aux hausses de taux, accusaient le coup comme Meta (META) qui perdait 3,87%, Microsoft (MSFT) (-2,04%) ou Netflix (NFLX) (-7,14%). La déprime des ventes au détail affectait aussi Amazon, le numéro de la distribution en ligne (-2,67%).
Face aux signes de ralentissement de l’activité, les compagnies aériennes avaient du plomb dans l’aide comme Delta (DAL) (-3,24%) ou American Airlines (AAL) (-2,38%).
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