En explorant internet j’ai trouvé un post qui va vous ravir. Sa thématique est « l’automobile ».
Son titre troublant (Perpignan : après-midi de sensibilisation à la sclérose en plaques en centre-ville) est évocateur.
Identifié sous le nom «d’anonymat
», le rédacteur est positivement connu pour plusieurs autres papiers qu’il a publiés sur le web.
La confiance est donc sérieuse en ce qui concerne cet éditorial.
L’article original mentionné :
Avec un tour de France en Combi Volkswagen, l’Association de France des sclérosés en plaques (AFSEP) entend sensibiliser les passants à cette maladie encore méconnue du grand public. Ce lundi 27 juin, une escale s’est tenue à Perpignan.
Quatre mois et demi de route et 146 villes visitées. C’est le périple dans lequel s’est lancé Pierre-Rémi, délégué de l’AFSEP dans le Puy-de-Dôme et coordonnateur de ce projet. Au volant de son Combi Volkswagen de deuxième génération, il parcourt les routes de France afin de sensibiliser sur la sclérose en plaques. « Avec la crise sanitaire on a un peu perdu le contact, explique le conducteur. Avec ce road tour on espère retrouver ce lien. » C’est pour cela qu’ils se sont installés ce lundi 27 juin, de 13 heures à 17 heures, sur la place de la Victoire à Perpignan.
Une opération qui démarre sur les chapeaux de roues
Avec un voyage commencé le 10 juin dernier, Pierre-Rémi est d’ores et déjà confiant. « Le côté sympa de ce véhicule c’est que c’est un moteur de conversation, des personnes s’arrêtent pour parler du Combi, puis on dérive vers notre démarche et la sclérose en plaques. » De nombreux passants ont déjà pu être sensibilisés directement par les membres de l’AFSEP, mais aussi indirectement. « Lors de notre passage à Bergerac, le simple fait d’avoir le nom de l’association sur le Combi ça a marqué les gens, et le site internet a enregistré un record de visites« , s’amuse encore le chauffeur.
Parmi les membres présents sur la date perpignanaise, Nelly et Annick, délégués de l’AFSEP dans les Pyrénées-Orientales, veulent montrer que leur structure bouge. « On organise des groupes de parole, des ateliers de sophrologie, et bientôt des cours de théâtre », explique la première. Un besoin de mouvement partagé par Maria, responsable d’une agence d’auxiliaires de vie Vitalliance à Perpignan. « Notre groupe est partenaire de l’AFSEP, on veut vraiment mettre l’accent sur le maintien à domicile… être handicapé, c’est bouger, ça ne verrouille pas.«
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